söndag 17 juli 2011

Racine Bérénice

Je n’écoute plus rien, et pour jamais, adieu.
Pour jamais! Ah! Seigneur, songes-vous en vous-même
Combien ce mot cruel est affreux quand on aime?
Dans un mois, dans un an, comment souffrirons-nous,
Seigneur, que tant de mers me separent de vous?
Que le jour recommence et que le jour finesse
Sans que jamais Titus puisse voir Bérénice,
Sans que de tout le jour je puisse voir Titus?
Acte IV, scène 5

Inga kommentarer:

Skicka en kommentar